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Bibliographie proposée par Knowllence
Conception et Ingénierie Numériques Collaboratives par M. Y. Gardan
lundi 27 avril 2009 , Sandrine Beaujon


La place prépondérante qu’ont pris les outils liés à la chaîne numérique dans les entreprises, notamment de conception-réalisation de produits (ou services) implique une compréhension approfondie des conséquences sur les modes de fonctionnement de ces entreprises. L’influence de la CAO (Conception Assistée par Ordinateur), puis de nouveaux concepts, conduisant à la gestion du cycle de vie du produit (PLM) n’est plus à démontrer.

Il semble pourtant opportun de prendre un peu de recul et de bien situer les différentes technologies disponibles et les méthodologies qui peuvent être mises en oeuvre. Une vision synthétique, en analysant en détail les points essentiels, peut apparaître utile, aussi bien aux décideurs, qui pourront ainsi disposer d’une information adéquate pour effectuer les choix fondamentaux et évaluer les impacts sur leur entreprise (sans entrer dans les détails), qu’aux spécialistes et aux utilisateurs qui remettront plus facilement les outils dans leur contexte, afin de viser l’amélioration globale des processus.

Pour situer la problématique de cet ouvrage, il est utile de prendre en compte le contexte industriel et l’état de l’art de la technologie. Après une introduction, le chapitre deux montre de quelle manière la mondialisation impose de nouvelles méthodes de travail et de quelle façon la technologie peut apporter certaines réponses. On aborde l’idée essentielle sous-jacente qui consiste à privilégier la conception, comme la meilleure façon d’être performant.

Dans la mesure où l’on s’intéresse prioritairement à la conception, on montre dans le chapitre suivant de quelle manière les systèmes de CAO imposent une démarche qu’il sera fondamental de bien maîtriser pour, parfois, la remettre en cause. On introduit la notion de modélisation, base de travail de tout ingénieur, avant de montrer les apports pour l’apprentissage des métiers et la compréhension du mode de fonctionnement des systèmes informatiques utilisés. Le lecteur pourra entrer, s’il le souhaite, dans quelques détails de modélisation géométrique, dont l’intérêt est d’autant plus grand que l’on est proche des métiers de la conception et de l’utilisation des outils informatiques associés.

Les deux chapitres suivants montrent comment passer de la conception « banale » à une ingénierie assistée par des connaissances de l’entreprise et/ou par la simulation numérique. En effet, il s’agit d’utiliser la technologie au mieux, notamment en essayant d’optimiser les produits et les processus. Deux grandes possibilités complémentaires s’offrent à l’entreprise : maîtriser les connaissances et simuler.

La gestion de la connaissance passe par une maîtrise de celle-ci, avec différentes approches, et doit permettre de faciliter, à terme, l’innovation. La simulation numérique, sous diverses formes, doit être une aide à la conception et tendre vers l’optimisation par la mise en place de procédures adaptées. Ce sont de nouvelles possibilités de développement, d’optimisation et d’innovation qui s’ouvrent aux dirigeants capables d’appréhender et de maîtriser ces technologies.

La distinction en deux chapitres de la prise en compte des connaissances, d’une part, et de la simulation numérique, d’autre part, ne doit pas être comprise comme une séparation technologique et organisationnelle. En effet, il est clair que l’utilisation des connaissances passe par une forme de simulation de processus cognitifs, et que la simulation numérique s’appuie, bien entendu sur des connaissances, mathématiques ou empiriques . C’est une bonne intégration de l’ensemble des moyens de simulation et de modélisation des connaissances qui doit être l’objectif de chaque entreprise.

On aborde ensuite l’influence des procédés de fabrication. En effet, une pièce ne doit pas être conçue de la même façon selon qu’elle sera fabriquée par tel ou tel procédé. Les marges de gain pour les entreprises, qui sauraient prendre en compte ce fait, sont immenses. Pour illustrer cette influence, nous nous basons sur un exemple dans un métier traditionnel, la forge, et sur un exemple de remise en cause de règles de conception dans le cas du prototypage rapide. Dans la mesure où nous situons la problématique de cet ouvrage autour de la conception, étape fondamentale pour la définition des coûts, des délais et de la qualité, nous insistons sur les outils qui permettent de créer des maquettes physiques grâce au prototypage ou à la fabrication rapides. En effet, ces nouveaux moyens permettent d’améliorer le processus de conception, de manière de moins en moins coûteuse et de plus en plus intéressante, en termes de qualité fonctionnelle, en particulier, des produits.

Enfin, les entreprises doivent s’insérer dans des réseaux, des regroupements ou des notions de co-traitance.

De nouveaux modes de travail apparaissent, autour d’une notion ancienne mais largement influencée par les progrès récents de la technologie : la collaboration. Le chapitre sept est consacré aux outils et méthodologies qui sous-tendent ces nouveaux modes de travail. On aborde les différentes notions indispensables à la gestion des données. On propose également une approche globale de la chaîne numérique dans l’entreprise, notamment dans un contexte d’ingénierie numérique collaborative. Il s’agit de mettre en place des outils et des méthodologies pour obtenir les meilleurs gains possibles (coûts, qualité, délais …) par l’intégration judicieuse de l’ensemble des moyens. Il arrive encore trop souvent que l’on s’attache à une vision très locale de la chaîne numérique, ce qui conduit à des optimums locaux qui ne contribuent pas obligatoirement à un optimum global.

La qualité et sa normalisation sont au coeur des démarches d’entreprise. Un court chapitre montre comment le PLM doit être le support privilégié de la qualité.

Le dernier chapitre propose une approche très générale pour introduire des technologies dans les entreprises, notamment les PME.

   


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