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Projectics programme définitif et bulletin d’inscription Projectics appel à Communications 7 et 8 octobre 2010 samedi 18 septembre 2010 , Sandrine Beaujon XVIe journées de projectique Innovation soutenable, management et développement des compétences Organisées par : ERALAN 2 (MU/FCE, ESTIA), centre de recherche pour l’innovation Eusko-Ikaskuntza, société d’études basques Déroulement des journées Jeudi 7 octobre (ESTIA, Bidart) 08:30 Accueil 09:00 Conférence de Jean Michel Larrasquet, Nimal Jayaratne : « La Projectique en devenir » 10:00 Pause-café 10:30 Session 1* : Management, Apprentissage et développement de compétences D’autres formes de relations entre les hommes, les machines/appareillages et la nature sont possibles. Quelques pistes de réflexion… 12:30 Repas 14:00 Session 2* : Innovation et Responsabilité Comment canaliser, sans les freiner, les initiatives vers des formes d’innovation soutenables et responsables ? 15:30 Pause-café 16:00 « Entreprise et Recherche : Appliquer l’innovation ouverte à nos propres activités de Transfert <=>Recherche » 20:30 Repas Vendredi 8 octobre (Sala de actos, Donostia) 08:30 Départ en bus de Bidart 09:30 Conférence de Daniel Innerarity : « La dimension sociale de la réalité économique » 11:00 Pause café 11:30 Session 3* : Organisation et Systémique De l’intérêt du regard systémique sur les organisations et les approches actuelles du fonctionnement de l’activité 12:30 Repas 14:00 Conférence de Vincent de Gaulejac : « La société malade de la gestion » 17:00 Départ en bus de saint Sébastien * L’équipe organisatrice se réserve le droit de modifier l’ordre des sessions Invités d’honneur Vincent de Gaulejac Vincent de Gauleajc est directeur de laboratoire de changement social et professeur de sociologie à l’université Paris VII. Dans son dernier livre, il met en évidence que la gestion constitue une idéologie qui légitime la guerre économique et l’obsession du rendement financier. Cette logique, au-delà de l’entreprise, tend à envahir toute la société et impacte jusqu’à la vie privée des personnes. En d’autres mots, l’être humain doit être parfait. Mais cette culture de la haute performance et la compétition généralisée mettent le monde sous pression. Le harcèlement se banalise, entrainant épuisement professionnel, stress et souffrance au travail. Face à cette problématique, comment peut-on repenser la gestion comme instrument d’organisation et de construction d’un monde commun où le lien importe plus que le bien ? Daniel Innerarity Né à Bilbao en 1959, Daniel Innerarity est actuellement professeur de philosophie sociale et politique, chercheur à « Ikerbasque » à la UPV/EHU et directeur de l’Institut de Gouvernance Démocratique de San Sebastian. Il a été boursier de la Fondation Alexander von Humboldt. Parmi ses derniers livres publiés, citons notamment Ética de la hospitalidad (ethique de l’hospitalité), La transformación de la política (la transformation de la société), La sociedad invisible (la société invisible) et El nuevo espacio público (le nouvel espace public). Certains de ses ouvrages ont été traduits en France, au Portugal, en Italie et au Canada. Ses recherches s’intéressent à l’étude de la société contemporaine et des transformations à l’oeuvre dans la politique actuelle. Il collabore régulièrement aux pages Opinions des quotidiens El País et El Correo, ainsi qu’à la revue Claves de razón práctica. Il est membre de l’Académie des Sciences et des Arts de Salzburg.
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